POLYPOINT People : développer des solutions qui simplifient les processus .
Question: Quel est le point commun entre les meubles USM et Markus Plüss, développeur de logiciels chez POLYPOINT?
Réponse: Tous deux font (presque) partie de l'inventaire de POLYPOINT. Découvrez dans cette interview les raisons de cette situation, son expérience passée et sa volonté de contribuer à façonner l'avenir, ainsi que son avis sur des thèmes tels que la fidélité à l'entreprise, la fiabilité et la flexibilité.
POLYPIONT : Markus Plüss, cela fait maintenant 35 ans que tu es chez POLYPOINT, pourquoi es-tu depuis si longtemps fidèle à l'entreprise?
Markus Plüss : Je n'ai jamais ressenti le besoin de chercher activement un autre emploi. L'entreprise s'est toujours adaptée à son époque. Les personnes, les sites, la technique, même le nom de l'entreprise – tout a changé. Aujourd'hui, nous proposons un portefeuille de logiciels et de services beaucoup plus large. Cela a rendu les choses suffisamment variées pour pouvoir évoluer avec elles. En fait, tout a changé – sauf les meubles USM, qui semblent indestructibles!
Qu'est-ce qui a le plus changé dans ton activité au cours de ces presque quatre décennies?
La technique. Au début, nous avions des disquettes 5 1/4 pouces. Pas de service de support à distance ou autre. Les logiciels étaient envoyés par la poste. En cas d'erreur, on envoyait à nouveau la correction sur une disquette et on appelait deux jours plus tard pour savoir si le problème avait été résolu.
Non seulement les collaborateurs comme toi, mais aussi les clients font confiance à POLYPOINT, parfois depuis des décennies – à ton avis, sur quoi se fonde cette confiance?
Sur un partenariat fiable. La coopération d'égal à égal est importante pour nous, qu'il s'agisse de clients ou de partenaires. Cette proximité nous permet d'être proches du marché et de ses exigences et de les intégrer en permanence dans les processus de développement.
« Because time matters » : tel est le slogan de POLYPOINT. L'entreprise veut donner plus de temps pour l'essentiel aux professionnels de la santé. Peux-tu nous dire comment tu réalises personnellement cette promesse dans le cadre de ton travail?
Je contribue à développer des solutions qui simplifient considérablement les processus standards dans les entreprises. De temps en temps, je peux aussi aider avec des scripts SQL qui évitent à nos clients de passer des heures à faire des corrections manuellement.
Quand on travaille comme toi depuis 35 ans dans l'un des secteurs les plus dynamiques, on doit se confronter presque quotidiennement à la nouveauté. Comment te tiens-tu au courant des nouveaux développements?
Lorsqu'il s'agit de nouvelles tendances ou de nouvelles technologies, POLYPOINT est toujours à la pointe et se prépare à y répondre en tant qu'entreprise. Les formations internes, les nouveaux outils et les nouveaux thèmes ne cessent d'alimenter une entreprise comme POLYPOINT. Elle évolue en permanence, tant du point de vue technologique qu'organisationnel. Je vis ces évolutions avec l'entreprise et je m' y adapte avec toute l'équipe.
Le secteur de la santé est actuellement confronté à de grands défis. Comment le perçois-tu et comment cela impacte-t-il ton travail?
Comparé à d'autres pays, notre système de santé est cher, mais il est aussi bon, je trouve. Beaucoup de gens trouvent du travail dans ce secteur. Et c'est une chance de pouvoir proposer des solutions qui facilitent l'organisation du travail. Actuellement, la planification automatisée est un sujet passionnant. Jusqu'à présent, le paramétrage était trop compliqué pour la base de la planification. Car nous ne voulons pas automatiser un planning quelconque, mais un planning qui tienne compte du plus grand nombre possible de souhaits des collaborateurs. Avec les cas d’utilisation mobiles (mobiles usecases), nous voyons maintenant la possibilité de servir deux perspectives avec une seule solution.
Ressens-tu toi aussi la pression qui pèse sur le secteur – nous voulons surtout parler ici de la guerre des talents (pénurie de personnel) et des nouveaux développements sociaux, comme l'exigence accrue des collaborateurs de disposer de plus d'autonomie?
Ici aussi, le smartphone ouvre de nouvelles possibilités. Les gens peuvent gérer eux-mêmes le moment où ils souhaitent travailler. Cela doit bien sûr être coordonné – ce qui nous ramène à nos solutions POLYPOINT. J'en fais également l'expérience sur mon lieu de travail. Avec le temps partiel et le télétravail, j'ai beaucoup de liberté pour organiser mon travail moi-même. J'apprécie de pouvoir remettre une tâche à plus tard pour faire du jogging sur le Gurten par temps ensoleillé ou le long de l'Aar sous la neige. Et peut-être aussi, en courant, avoir une idée de la manière dont je peux résoudre un problème de programmation.
Pour conclure, une dernière question: quel est pour toi le meilleur aspect de ton travail?
La satisfaction lorsque je parviens à résoudre un problème ou une tâche qui n'est pas simple. Ces défis durant lesquels je regarde parfois avec envie le conducteur du tram en pensant «juste aller de terminus en terminus, pas de clients impatients avec des problèmes brûlants et non résolus». Mais justement, c'est ce sentiment que j'aime, lorsque quelque chose est enfin résolu.